« Sans arrêt, c’est compliqué » : Michel Cymes ne contrôle plus rien !

« Sans arrêt c’est compliqué » : Michel Cymes ne contrôle plus rien !

Convié ce mardi 16 mars 2021 sur le plateau du Quotidien, Michel Cymes confiait ne pas être pour la suspension en France de la campagne de vaccination AstraZeneca. Pour le médecin le plus célèbre du PAF, c’est tout juste « compliqué ». Le point sur la question.

De passage ce 16 mars 2021 sur Quotidien, le talk-show de Yann Barthès, Michel Cymes n’a pas manqué de revenir sur le Covid-19. Il faut dire qu’à l’instar de tous les Français, l’acolyte d’Adriana Karembeu déplorait la suspension du vaccin AstraZeneca dans toute la France comme l’avait annoncée il y a peu le président de la République Emmanuel Macron.

Dès qu’on voit la lumière au bout du tunnel. Il y a un truc qui nous tombe sur la gueule” !

Dès qu’on voit la lumière au bout du tunnel, regrettait Michel Cymes. Il y a un truc qui nous tombe sur la gueule, soit il y a un variant breton, soit il y a le vaccin qui est mis en cause. Sans arrêt, poursuit-il. C’est compliqué.”

Mais il n’en restait pas là. L’ami de Nagui de rajouter : “La France et Emmanuel Macron ne pouvaient pas faire autrement que de suspendre cette vaccination, alors que tous les pays autour de nous… À partir de moment où l’Allemagne le faisait, c’était très compliqué de ne pas le faire.

Les anti-vaccins aujourd’hui se régalent ” !

En effet, il faut savoir que pas mal d’effets secondaires ont été d’ores et déjà recensés de par le monde juste après le début de la vaccination. “On a à peu près 120.000 infarctus par an en France. Ça fait 14 par heure. Vu qu’il va y avoir des dizaines de milliers de vaccinés, forcément, parmi les 14 infarctus par heure, il va y en avoir qui ont été vaccinés dans les heures qui ont précédé, ou dans les semaines, ou dans les jours. Est-ce qu’on doit faire un lien entre le vaccin et les infarctus ?”, s’interrogeait Michel Cymes.

Les anti-vaccins aujourd’hui se régalent, reconnaît l’animateur des Pouvoirs extraordinaires du corps humain diffusé sur France 2 avant qu’il ne conclut : « Ils n’ont même pas besoin de parler, tout se fait sans eux“.