Tandis que la crise sanitaire prend de plus en plus de l’ampleur, Paul a livré son point de vue très cash au sujet du port du masque. Des déclarations improbables qui ont eu le don de provoquer un très gros scandale sur les réseaux sociaux. La chaîne du cœur vous donne tous les détails des confidences de l’ancienne star des 12 Coups de midi.
La pandémie à Covid-19 a touché bien de monde et ce, à différents niveaux. Paul El-Kharrat ne fait exception. Et pourtant, cela n’a pas empêché l’ancien plus grand Maître de midi de tenir des propos improbables notamment sur le port de masque. Des propos qui ont le don de créer un véritable scandale.
“Il y en a qui vont critiquer ce que je dis, mais je m’en fiche” !
Si l’attention de la majorité des Français sont focalisés vers le troisième confinement, celui de Paul El-Kharrat reste encore sur la question du port de masque. ”Des fois, il n’y a pas utilité, selon moi, de garder le masque, donc je l’enlève“, déclarait-il sans ambages depuis le plateau de Non Stop People. Conscient de la portée que pourrait avoir ses propos, l’ancien protégé de Jean-Luc Reichmann de devancer ses probables détracteurs : “Il y en a qui vont critiquer ce que je dis, mais je m’en fiche. Il y a des fois où je n’en peux plus“.
Paul El-Kharrat de rajouter : “On nous plonge dans une psychose qui atteint tous les pans de la société. Quand tu fais quelque chose qui ne va pas dans le courant des autres, tu es regardé d’une bien piètre manière“. Si l’étudiant en Histoire déteste autant le masque, c’est pour une raison bien précise : il a l’impression d’être « muselé » : “Tu es enfermé chez toi, et quand tu sors, tu dois encore être enfermé mais directement sur ta peau et moi qui ne supporte pas le contact physique d’un objet, c’est pénible”.
Les pensées suicidaires de Paul.
Dans la foulée, Paul El-Kharrat de révéler: “J’ai eu des pensées suicidaires, j’avais envie de mettre fin à mes jours. Je n’en pouvais plus de la vie, de l’existence, je n’arrivais même pas à exister, alors c’était plutôt survivre. J’ai eu des phases assez sombres où j’alternais entre déprime, idées noires, violence, brutalité“.