Si la rédaction a principalement choisi le beurre c’est parce qu’il est l’un des aliments de base de la cuisine française. On en consomme au quotidien toutefois l’on ignore qu’il peut s’avérer être très dangereux pour notre santé. Découvrez à travers cet article cette erreur fatale qu’il faut absolument ne pas faire pour le bien de votre santé.
Que vous le tartiniez sur les canapés ou préparer vos viandes, poissons grillés, crustacés ou encore vos légumes cuits à la vapeur avec le beurre…Il se peut que vous fassiez partie de ceux qui ne savent pas le cuire correctement au point de mettre en jeu votre santé.
Nous sommes ainsi des milliers voire des millions à en être concernés si l’on se base des « 8,8 kg » consommés « par personne par année ». Faites un peu le calcul! La France est de loin le pays qui en consomme le plus.
“Chauffez tout d’abord de l’huile avant d’ajouter le beurre” !
Ce qu’il faut à tout prix éviter avec le beurre, c’est de le chauffer à feu vif parce qu’il faut savoir qu’il brûle à une température plus basse que l’huile ou la margarine. « Ses matières grasses se décomposent entre 120°C et 130°C ». Ainsi chauffé, le beurre prendra une coloration brunâtre pour le moins attrayante et sera ainsi indigeste. Additionné à de l’huile végétale réservée à de la cuisson à haute température, le beurre se décompose moins rapidement. Pour ce faire, prenez pour habitude de tout d’abord chauffez de l’huile avant d’ajouter le beurre.
Le beurre a récemment retrouvé les faveurs des nutritionnistes.
Après avoir été longtemps pointé du doigt pour ses « mauvaises graisses », une consommation modérée de beurre n’augmente pas les risques cardiovasculaires comme on l’a toujours laissé entendre.
Ce qu’il faut retenir de tout ça, c’est de ne surtout pas dépasser les 140°C sinon il y aura ce qu’on entend par la réaction de Maillard : « À partir de 100 degrés le beurre blondit, puis sa couleur fonce peu à peu avec la hausse des températures suite à l’interaction entre les glucides et les protéines du beurre(…)Celle-ci génère alors l’apparition de molécules nocives qui favorisent l’inflammation du corps ».