Camille Lellouche se livre à cœur ouvert : « J’étais au plus bas. J’ai sombré. J’ai vraiment sombré »

Camille Lellouche se livre à cœur ouvert : « J’étais au plus bas. J'ai sombré. J'ai vraiment sombré »

Camille Lellouche revient sur le devant de la scène avec une mauvaise nouvelle. En effet, la comédienne souffre d’une très grave maladie psychiatrique. Consciente de l’impact de ce trouble psychique dans sa carrière, l’artiste passe aux confidences…

Il y a quelques temps, Camille Lellouche se retrouvait plonger dans une très grosse polémique suite à la publication d’une vidéo d’elle entrain d’embrasser langoureusement Rayane Bensetti. Les images ont provoqué un véritable tollé sur les réseaux sociaux.

De passage à l’antenne de Sud Radio, la célèbre humoriste et chanteuse a accepté de revenir sur ces moments. L’occasion pour l’artiste d’expliquer les circonstances qui ont provoqué la fuite de la vidéo en question.

J’ai été très bas, là je suis stable »

Par ailleurs, depuis sa participation à The Voice, Camille Lellouche n’a jamais été toujours appréciée du grand public malgré son talent qui ne fait pas l’ombrage d’un doute. A un moment de sa vie, elle avait beaucoup souffert de ce manque de reconnaissance. Mais si elle a pu s’en sortir c’est avant tout grâce à Ne me jugez pas. Une chanson qui parle d’elle-même par la simple évocation de son titre.

C’est une période de ma vie où j’étais au plus bas. J’ai sombré. J’ai vraiment sombré », débutait-elle avec une voix étranglée par l’émotion. « Ce qui m’a sauvé, ajoutait-elle, c’est cette chanson. C’est le fait « de la composer et qu’on l’écoute“, expliquait-elle avec beaucoup de fierté.

J’ai été très bas, là je suis stable », réitérait-elle encore. « J’ai cette intelligence aujourd’hui de me dire que mes névroses sont moins violentes qu’avant“, affirmait-elle en évoquant sa maladie psychiatrique. « Puis ça va aujourd’hui, puisque je fais ce que j’aime“,s’assurait-elle.

« Quand on ne veut pas de toi, quand on ne veut pas voir ta lumière, c’est très troublant »

Mais cela n’a pas été toujours le cas avec sa névrose. “À l’époque quand je sombrais, il y avait rien de ce que je voulais », confessait-elle. « Pourtant je travaillais pour ça, mais quand on ne veut pas de toi, quand on ne veut pas voir ta lumière, c’est très troublant », a-t-elle fait mention.

« C’est fou de devoir se battre pour faire quelque chose alors qu’on sait que c’est notre métier, c’est notre vie », poursuivait-elle avec une once de regret. « Et c’est très, très injuste de devoir se dire, j’ai quelque chose mais vous ne le voyez pas “,a-t-elle terminé.