Depuis qu’il ait intégré les 12 Coups de midi ce mi-janvier, comme un acharné, Bruno reste Maître de midi. Ils sont nombreux à venir tenter de le déloger mais pour le moment, le jeune Normand reste imbattable. Accusé de tricherie et d’être à la fois favorisé par la production, le protégé de Jean-Luc Reichmann de briser le silence.
Quand on voit le parcours vertigineux de Bruno depuis le plateau des 12 Coups de midi, cela nous ramène directement vers le parcours des anciens plus grands champions du jeu méridien de TF1 : celui d’Eric avec 199 participations et 921 316 € de gains, de Christian Quesada avec 193 participations et 809 392 € de gains, de Paul avec 153 participations et 691 522 € de gains, Véronique avec 100 participations et 447 226 € ou encore de Léo avec 98 participations et 410 591 € de gains.
Bruno subit le même sort que ses prédécesseurs.
Bruno est, lui aussi en phase de devenir un grand Maître du jeu. Cela n’est certainement pas passé inaperçu et même…Du côté de ses détracteurs. Voilà pourquoi comme toujours, le jeune homme de 29 ans se retrouve subir le même sort que ses prédécesseurs.
Le chargé d’études pour une régie publicitaire serait aidé par la production. Interviewé à l’occasion de sa 50ème participation dans les colonnes du magazine Femme Actuelle, Bruno en a profité pour balayer d’un revers de main toutes les rumeurs de tricheries dont ses détracteurs lui accusent.
“Une partie du public se lasse”.
“Si c’est le cas, assurait-il. Personne ne me l’a dit dans l’émission ! Après, continuait-il. J’ai l’impression que j’ai lu ce genre de commentaires pour tous les maîtres de midi. Mais je comprends, parce que quand il y a des gens qui restent très longtemps, une partie du public se lasse”.
“Dans les 12 coups de midi, avançait-il. Je trouve que le ‘coup par coup’ est quand même une manche très équitable. C’est vrai qu’au début de l’émission, le champion a souvent des questions de culture générale alors que les challengers ont des questions rigolotes portées sur des sondages, dont les réponses sont peut-être moins évidentes à connaître.”
Toutefois, estime-t-il “on ne peut pas faire 50 participations ou plus en étant toujours protégé, ce n’est pas possible de faire rester quelqu’un aussi longtemps sans une base de connaissances solide.”